[Octobre 2017] Butin bibliothèque : romans, BD et essais en tous genres…

C’est l’heure mensuelle du book haul ! Alors emmitouflez-vous comme moi dans un bon plaid pour admirer les photos des heureux élus et peut-être y piocher de futures idées lectures !

Durant le mois d’octobre, j’ai uniquement fait des emprunts en bibliothèque. J’avais réussi à calmer mes ardeurs les mois précédents, mais je n’ai pas tenu longtemps et ai recommencé à emprunter sans compter…
Je me retrouve une fois de plus envahie, cernée par des piles de livres à lire, alors que d’autres lectures urgentes m’attendent… Autrement dit, c’est la foire !

>> Du côté de la littérature de jeunesse, j’ai donc emporté ces dernières semaines…

… Légende de David Gemmell (ma lecture d’octobre pour le challenge 12 mois/amis/livres). Comme vous le voyez, j’ai beau avoir un train de retard sur ce challenge, j’ai d’ores et déjà commencé ma lecture (confère le joli marque-page Book Depository qui pointe le bout de son nez).

Également Sagesses et malices de Nasreddine, le fou qui était sage, un recueil des aventures et réflexions du célèbre personnage issu de la culture musulmane, que j’ai découvert durant un de mes cours de master. Je vous le présenterai sans doute plus en détail dans un futur article.

Les stagiaires de Samantha Bailly, que j’ai lu il y a deux semaines. Un roman franchement sympathique, dont le contexte narratif a fait écho à mes quelques expériences en tant que stagiaire.

La traduction française par Clémentine Beauvais du roman en vers libres One de Sarah Crossan, titré Inséparables. Pour la petite info (je sais que ça vous intéresse… ça vous intéresse, n’est-ce pas ?), j’ai prévu de lire One et de parcourir sa traduction française en vue d’une présentation du livre pour le cours d’anglais 😀 Ça va être chouette, mais il faut que je me dépêche de lire tout ça !

Et enfin, l’exception bande dessinée de ce book haul, L’homme montagne, une petite merveille dont je parle avec amour dans cette chronique.

>> Attendent ensuite d’être lus des textes étranges, qui n’ont rien à voir avec la littérature de jeunesse, mais qui promettent des lectures édifiantes :

Je selfie donc je suis d’Elsa Godart, un essai sociologique dont j’ai entendu parler à la télé et qui me semble proposer des analyses pertinentes sur le sujet de l’évolution numérique et de son impact sur nos comportements.

Edition, l’envers du décor de Martine Prosper, parce que je cherche sans cesse à m’enquérir de tous les points de vus possibles sur l’édition, et parce que ce petit livre me semble tout à fait digeste en cette période où les lectures s’accumulent.

Enfin, Écrire au Japon de Mariko Ozaki. J’espérais trouver des livres sur l’édition japonaise à la bibliothèque Parmentier, mais il faudra sans doute que je cherche ailleurs. En tout cas je suis tombée sur ce livre-ci, qui, à défaut de me servir pour mon mémoire, aura au moins le mérite de m’ouvrir les yeux sur la situation d’écrivain au Japon.

Je ne m’éternise pas plus longtemps, car des devoirs et autres lectures m’appellent, s’égosillent et me crient de venir les rejoindre pour vivre de joyeuses heures de travail ensemble…
Encore merci à tous pour vos visites sur le blog, vos échanges et suggestions ! ❤
À très vite !